dimanche 18 décembre 2016

Expérience photoshoot... La reine des neiges

Par Mélanie Gallant




Cela serait mentir de prétendre que l’hiver n’a pas un certain charme, charme dont nous dont nous avons de besoin lorsque nous avons comme objectif de réaliser une séance photo avec pour thématique la « Reine des neiges ». Malheureusement, c’est bien connu, avec la neige vient aussi le froid. Bien qu’Elsa ne soit pas incommodée par le froid (« The cold doesn’t bother me anyway » après tout, n’est-ce pas ce qu’elle dit?), cela était loin d’être le cas des simples petites humaines que nous sommes.

Malgré tout, cela ne nous a pas empêchées de braver le froid pour obtenir ce que nous désirions (nous avons essayé en été, mais le résultat était…décevant). Évidemment, nous avons tenté de modérer nos tendances masochistes et avons choisi une journée où la température extérieure avoisinait les 0°C.

Au départ, nous étions censées profiter de l’occasion pour visiter une garderie en tant qu’Anna et  Elsa, mais l’éducatrice a dû annuler l’activité considérant le peu d’enfants présents (ce qui était peu surprenant, plusieurs parents sont en vacances le 22 décembre). Comme il était prévu que nous nous rendions au parc des Deux Rivières (East Angus), nous avons décidé de suivre notre plan initial, sans l’arrêt à la garderie.

Il ne faisait pas si froid cette journée-là… Jusqu’à ce que nous retirions nos manteaux. Évidemment, dans les déplacements et entre les différents clichés nous les remettions, mais n’empêche que  nous étions en hiver, au Québec, et qu’une personne saine d’esprit ne retire habituellement pas son manteau dans ces conditions.



D’ailleurs, les quelques clichés en duo ont été pris dans une tentative de se réchauffer. Cela ne nous empêche quand même pas d’avoir l’air complètement frigorifiées sur les photos.




Pendant ce temps, Valérie restait bien au chaud dans son manteau (elle est quand même restée dehors aussi longtemps que nous alors…)

Tout cela pour dire qu’il est plutôt surprenant qu’aucune d’entre nous ne soit tombée malade pendant le temps des fêtes cette année-là. Cela a, sans doute, un lien avec la quantité industrielle de thé ingéré après les faits… Ou pas.





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